Les avions nous pompent l’air un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, plus du tout.
Les avions, comme tout engin motorisé nous pompent l’air, au sens propre, et rejettent eau, gaz dont CO2, suies, gouttelettes d’hydrocarbures, particules métalliques.
Un petit sillage d’avion, blanc dans un ciel tout bleu était promesse d’évasion, de plaisir, de liberté, de richesse.
Ce temps-là n’est plus, le trafic aérien est devenu démentiel, ses rejets ne se dispersent plus. Continuer à ne pas admettre cela conduira à sa perte sans compter que l’on devrait déjà raisonnablement commencer à rationner le pétrole. http://www.eauseccours.com/article-avenir-du-trafic-aerien-quitte-ou-double-un-calcul-tout-simple-49423861.html
14 juillet 2010, déception après 1000 km pour venir admirer la magnificence d’un lever de soleil en Camargue avec la montagne Ste-Victoire à l’horizon
Quand les avions sont vraiment trop nombreux ils deviennent invisibles, toutes leurs traînées et pollutions sont réunies dans une espèce de soupe sombre qui emplit l’atmosphère.
« You cannot see what I see because you see what you see. You cannot know what I know because you know what you know. What I see and what I know cannot be added to what you see and what you know because they are not of the same kind. Neither can it replace what you see and what you know, because that would be to replace you yourself.” Douglas ADAMS globalement inoffensive « Vous ne pouvez pas voir ce que je vois parce que vous voyez ce que vous voyez. Vous ne pouvez pas savoir ce que je sais parce que vous savez ce que vous savez. Ce que je vois et ce que je sais ne peut être ajouté à ce que vous voyez et ce que vous savez, parce que nous sommes de nature différente. On ne peut remplacer ni ce que vous voyez ni ce que vous savez, parce que ce serait vous remplacer vous-même. » |
Malgré toutes leurs différences de plus en plus de gens voient ou ressentent qu’il se passe quelque chose d’anormal dans le ciel.
05/10/2010 18:33:07 Ce message vous est envoyé par un visiteur grâce au formulaire de contact accessible en bas de page de votre blog: www.eauseccours.com |
Voir des chemtrails partout est prise de conscience que l’authentique ciel bleu a véritablement déjà disparu, c’est comprendre que le problème est apporté par les avions, c’est réaliser que la nature et les hommes en sont empoisonnés, que le climat en est changé mais c’est nier qu’en favorisant le trafic aérien par gourmandises diverses on est cause de cette saturation du ciel.
01/02/2009 http://www.eauseccours.com/article-27420468.html
12/05/2009 http://www.eauseccours.com/article-31337619.html
05/10/2010 16:13:58 Monsieur, |
Les cieux des arrières plans des publicités, dans les films ou dans les journaux télévisés, en suivant à l’instant l’évolution de la dégradation du ciel, nous la banalise. On est le plus souvent invité à payer une cotisation et à écouter, à bouger principalement en achetant un nouveau gadget, en s’investissant dans des mesures quelque part justes et nécessaires mais pas forcément prioritaires. Ainsi économiser l’eau à outrance en France retarde la prise de conscience qu’il est nécessaire et encore possible de rétablir la libre circulation des nuages avant une fonte trop importante des glaciers.
Le plus urgent face à l'arrivée d'un tsunami n'est pas de suivre des cours d'hydrologie mais de sentir le danger, abandonner ses idées et occupations du moment et s'enfuir avant l'arrivée de la vague dévastatrice.
Aujourd'hui l'urgent est de s'éloigner des écrans, des courbes et des graphiques pour regarder l'aspect du ciel et cela le nombre de jour qu'il vous faut pour réaliser que l'excès de trafic aérien altère la lumière et donc la formation naturelle des cycles de l'eau et donc l'organisation de toute la vie terrestre.
J'ai proposé les mots aviocirrus, aviocorde, avioclimatologie parce que les mots peuvent aider à voir. Mais cela prendra encore du temps pour qu'ils soient complètement reconnus officiellement.
En attendant que chacun prenne un peu moins l'avion, achète un peu plus local... Et si les nuages de culture disparaissent très vite, on aura sauvé l'essentiel et déjà changé nos habitudes face aux émissions de CO2 dont il sera alors temps de faire le bilan pour aller encore plus loin en toute sérénité.
Parler ouvertement de ces problèmes c’est prendre le risque de se heurter à la violence d’orgueils, de lâchetés, de défenses exacerbées de territoires financiers, politiques, scientifiques, culturels… c’est risquer l’isolement, le rejet des siens. Cela peut conduire à un doute violent, une douleur intense, la rage de ne pouvoir dire, le sentiment de folie.
J’ai pu discuter longuement au téléphone avec ce breton sensible à ce qui nous arrive puis l’ai simplement conseillé de lire attentivement les commentaires d’Olivier, Peach78 ou Chaoahn qui régulièrement donnent leur vécu de la situation.
L’essentiel, quand on a pris conscience, est de faire tout ce qu’on peut, en toute confiance, sans aller au-delà de ses forces. On peut dire ouvertement sa façon de voir et de penser, sans trop insister, sans chercher à convaincre outre mesure. Balayer d’abord devant sans porte, sans tomber dans la maniaquerie. L’effet boule de neige existe là aussi. On aura au moins gagné la paix de l’action et la liberté de ne plus être dupe du charme des sirènes.
Les seules personnes qui peuvent être amenées à être sollicitées durablement contre leur volonté sont celles qui occupent un poste de haute responsabilité, responsabilité qu’elles seront finalement tenues d’assumer à moins de démissionner, ce qui n’exclut pas le risque d’être poursuivi en justice par les personnes lésées.