PAS DE PLUIE PAS DE PLANTES / PAS DE PLANTES PAS D’ANIS / PAS D’ANIS PAS DE PASTIS. Mais déjà pastis à l’eau salée aux Saintes-Maries de la mer, en Camargue, où le niveau de l’eau du Rhône descend alors que la mer monte. Le « réchauffement climatique » alimente les conversations.
La sécheresse qui s’éternise, et pas que dans le Sud, commence à inquiéter sérieusement.
Monsieur Laurent ROY, ancien Directeur de l’Eau et de la Biodiversité auprès de Ségolène ROYAL alors Ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie, est aujourd’hui Directeur général de l’Agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse. A l’occasion de la COP23 il vient de lancer une tribune libre « Eau et changement climatique : s’adapter oui, mais pas n’importe comment ! » dans laquelle il rappelle aux décideurs « Qu’après l’été, 60 départements souffrent encore du manque d’eau » et les exhorte « à agir plus vite et plus fort » et à « investir à la hauteur du degré de vulnérabilité des territoires. ».
Roland CHASSAIN, maire des Saintes-Maries de la mer, s’oppose à l’extension du projet « Aqua Domitia » qui depuis 2016 puise déjà dans le Rhône pour alimenter en eau potable les stations balnéaires de la côte audoise et sud Montpellier.
Plus en amont les agriculteurs du Vaucluse appellent à l’eau du Rhône pour l’irrigation car la Durance, affluent majeur du Rhône, souffrant elle-aussi régulièrement de sécheresse, ne suffit plus.
Plus haut encore les stations de ski multiplient les réserves d’eau pour la production de neige de culture.
La guerre de l’eau a-t-elle commencé ?
La faute au consensuel « réchauffement climatique » qui conduit à évoquer une autre entité nommée « changement climatique ».
Ainsi selon Météo France : « Le changement climatique, du fait de l’augmentation de l’évaporation liée à la hausse des températures renforce l’intensité et la durée des sécheresses au sol. Les effets sont déjà visibles dans différentes régions du monde, dont le Bassin méditerranéen (5ème rapport GIEC 2013). La connaissance de l’évolution passée et future des sécheresses est un enjeu essentiel pour l’Adaptation au changement climatique en France (Plan national 2011). » http://www.meteofrance.fr/climat-passe-et-futur/impacts-du-changement-climatique-sur-les-phenomenes-hydrometeorologiques/changement-climatique-et-secheresses
Retour à la nature :
« Discipline d’observation, l’histoire naturelle apprend à respecter les faits et à rejeter le dogmatisme. » http://www.lemonde.fr/sciences/article/2017/07/06/l-histoire-naturelle-un-outil-precieux-contre-l-obscurantisme_5156484_1650684.html
Victor Hugo le disait déjà : « C’est une triste chose de penser que la nature parle et que le genre humain, n’écoute pas. ». http://www.eauseccours.com/article-32696631.html
Petits coups d’œil au ciel pour comprendre la composante anthropique des sécheresses durables à répétition en cours
Mardi 24 octobre 2017, 13h19, début d’incendie de garrigue et forêt à St-Julien-les Martigues dans les Bouches-du-Rhône, vu de la plage du Jaï au bord de l’étang de Berre. La sécheresse persistante mise en cause par les médias et les pompiers.
Même lieu, même jour, même heure, côté soleil. Deux heures plus tard au pied des Alpilles, à Fontvieille, un autre incendie a menacé des maisons.
Météo du jour: « Le soleil règne sans partage dans un ciel bien dégagé ». Journal La Provence
Ce qui n’est pas, loin s’en faut, description d’un soleil resplendissant dans un ciel tout bleu !
Mercredi 25 octobre 2017, au lendemain de l’incendie de Fontvieille qui avait démarré dans un champ d’oliviers
Météo du jour : « Le matin : Le soleil brille dans un ciel traversé par quelques passages voilés. L’après-midi : Le grand beau se poursuit, l’ambiance est printanière. » Journal La Provence
S’il ne pleut pas, c’est qu’il fait beau ! nous suggère Météo France.
Cette lapalissade favorise peut-être le tourisme mais détourne de la réalité : un voile d’eau de gaz et de particules est désormais installé chroniquement entre le soleil et le sol par un trafic aérien toujours croissant.
Ce voile anthropique de fins nuages élevés « qui ne gâche pas l’impression de beau temps » constitue le toit de la serre qui nous enferme et nous fait de l’effet : 15/11/2012, http://www.eauseccours.com/article-reperer-la-serre-qui-nous-fait-de-l-effet-112478921.html
« Le soleil domine, en dépit de quelques passages nuageux d’altitude. », « Le ciel est parcouru par des nuages élevés mais c’est le soleil qui l’emporte. », « Nombreux nuages élevés, néanmoins ils sont plutôt fins et le ciel reste assez lumineux. »,… ces « quelques nuages hauts et fins » qui « laissent leur trace dans le ciel sans plus » ont officiellement intégré en mars 2017 le Nouvel Atlas des nuages de l’OMM sous le vocable de HOMOGENITUS et HOMOMUTATUS : http://www.eauseccours.com/2017/05/nouveaux-nuages-ne-dites-plus-chemtrails-mais-nuages-homogenitus-mutatus.html
En clair ce que subit actuellement la terre n’est pas un « RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE » mais un « ECHAUFFEMENT PLANETAIRE » inédit car imputable à la présence chronique d’un voile d’homogenitus mutatus.
Quel rapport avec les sécheresses durables à répétition ?
Nuages homogenitus mutatus (nom officiel) encore au stade d’aviocirrus (nom plus évocateur) et givre épais dans le compartiment glace d’un réfrigérateur
Le givre grossit démesurément dans le compartiment glace du réfrigérateur car à chaque ouverture de sa porte, son froid a piégé de la vapeur d’eau présente dans la pièce environnante.
Ainsi le voile de glace homogenitus qui stagne au-dessus de nos têtes grossit-il de l’apport de la vapeur d’eau issue des évaporations locales, des évapotranspirations et des passages de petites dépressions. Ce qui entraîne des sécheresses durables et répétitives, des sécheresses inédites, des sécheresses en partie anthropiques, ce qui les rend incomparables avec les sécheresses des archives de Météo France.
A noter que le phénomène est accentué par la présence des microparticules produites dans la combustion incomplète du kérosène.
Sécheresse nuageuse sous nuages homogenitus devenus homomutatus par absorption à la fois de l’eau produite chimiquement dans la combustion du kérosène et de celle issue de l’évaporation naturelle.
2871 jours de collecte des nuages surnuméraires homogenitus perturbateurs de l’ensoleillement, des vents et des cycles de l’eau, soit 7 ans, 10 mois et 10 jours. « Le soleil a tendance à se voiler partiellement en cours d’après-midi », c’est le moins qu’on puisse dire !
Le trafic aérien augmente encore, Météo France a assombri à minima ses bulletins « Le soleil est masqué par un épais voile d’altitude. », « Le ciel est souvent voilé, ce qui gâche la sensation de beau temps. », « Soleil parfois contrarié par des nuages élevés toutefois rien de bien conséquent. », et les sècheresses empirent sur la planète Avionie.
ONERC : Observatoire National sur les Effets du RECHAUFFEMENT Climatique gagnerait en efficacité en étant renommé
ONERC : Observatoire National sur les Effets de la REORGANISATION Climatique imputable aux nuages homogenitus mutatus (dont le volutus ou aviocorde) généré par un trafic aérien inconsidéré.
Pour en savoir plus :
http://www.eauseccours.com/article-orages-sans-cumulonimbus-orages-sous-aviocordes-119764297.html