Californie, lundi 14 septembre 2020, 20h48 (mardi 15/09/20, 05h48 heure de Paris)
En visite sur place, alors que les gigantesques incendies font encore rage, Donald Trump, Président des Etats Unis d’Amérique, a affirmé à propos du réchauffement climatique: « It’ll start getting coller ! ».
« Ça finira par se refroidir !», une façon d’exprimer qu’il fait chaud, trop chaud, anormalement chaud depuis déjà plusieurs années.
Deux facteurs aggravent cette chaleur :
1- Quand un soleil rasant se glisse et se reflète sous le voile de pollution d’altitude homogenitus (eau, gaz et particules principalement issus du trafic aérien) la chaleur est encore plus accentuée. Il est devenu par exemple possible de prendre des coups de soleil en terrasse à Paris en décembre ou janvier. Cet effet halogène est particulièrement dommageable pour les glaces arctiques.
2- Pire encore, l’effet étuve tant redouté des climatologues, imputable lui aussi aux nuages homogenitus, est la forme de réchauffement la plus difficile à supporter pour l’humain et la plus propice à une fonte rapide des glaces.
A noter que dans ses bulletins météo du matin (le soleil brille sans partage) comme de l’après-midi (ambiance digne du plein été) Météo France ignore superbement la présence pourtant bien visible de ces nuages homogenitus et donc détourne l’attention de leurs impacts dommageables pour le climat.
« A certaine période, il y a 0,5% de la surface totale du ciel occupée par ces traces blanches, visibles depuis l’espace. Ces nuages créés par l’homme ont un nom depuis 2017 : les cirrus homogenitus. »
En mai 2020, à la sortie du confinement, le journaliste Jean-Christophe Batteria a laborieusement évoqué dans une courte vidéo « les cirrus homogenitus » engendrés par le trafic aérien, tout en prenant bien soin de relativiser leur impact. Climat : les vols de jour meilleurs pour la Terre que les vols de nuit https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/climat-les-vols-de-jour-meilleurs-pour-la-terre-que-les-vols-de-nuit_3977557.html « 96% des 80 000 vols quotidiens dans le monde sont annulés. Terminé les traces blanches dans le ciel. C’est l’occasion pour les scientifiques de mesurer leur impact environnemental. Mais il sera difficile aujourd’hui avec le confinement, car il n’y a pas que les avions qui sont ralentis ou à l’arrêt, il y a tous les transports, toute l’industrie, et il sera difficile de tirer la part du trafic aérien dans le bénéfice que tire la planète actuellement du ralentissement de nos activités. »
23 mars 2017 : mise à jour de l’Atlas mondial des nuages de l’OMM: http://www.eauseccours.com/2017/05/nouveaux-nuages-ne-dites-plus-chemtrails-mais-nuages-homogenitus-mutatus.html
Climat : Puisque le Président Trump l’a dit « Ça finira par se refroidir ! »
Oui, sans aucun doute, d’une façon ou de l’autre :
1- dès que le couvercle d’eau, de gaz et de particules qui nous enferme aura suffisamment épaissi (énorme éruption volcanique, géo-ingénierie, augmentation du trafic aérien même avec moteur à hydrogène) pour que l’assombrissement global prime sur l’effet de serre.
http://www.eauseccours.com/article-reperer-la-serre-qui-nous-fait-de-l-effet-112478921.html
ou
2- dès que la lumière solaire arrivera à nouveau librement jusqu’au sol (sommeil des activités volcaniques gigantesques, baisse considérable du trafic aérien ou baisse plus modérée mais avec avions obligatoirement équipés d’un récupérateur d’eau).
Remarque : Le volutus, autre nuage homogenitus (généré par l’homme) homomutatus (qui quelque part a échappé à l’homme) est à l’origine de pluies et/ou chutes de grêle spectaculaires (flumen) et dévastatrices, souvent accompagnées de vents violents tourbillonnants pouvant former des tornades. Récupérer l’eau des avions, ce qui est techniquement possible, empêcherait également sa formation.
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