Climat : 23 et 24 juillet 2019, extraits d’articles de presse à propos de la venue à Paris de Greta Thunberg, prêtresse* du dieu GIEC invitée par les 162 députés du collectif transpartisan « Accélérons la transition écologique et solidaire » lancé par le député Matthieu Orphelin, fidèle de Nicolas Hulot. *Prêtresse : Femme ou jeune fille attachée au culte d’une divinité dans les antiques religions païennes
Unique vérité politiquement correcte du moment :
Hurler avec les loups (ou être moutons de Panurge) pour soutenir aveuglément et suivre à la lettre l’Accord de Paris de 2015 qui affirme pouvoir régler le problème climatique en agissant sur le CO2, ou se voir sèchement cataloguer disciple du Président Trump, c’est-à-dire climatosceptique patenté.
Tentative du député Julien Aubert pour ne plus être qualifié de climatosceptique par le député Eric Diard :
https://www.lopinion.fr/edition/politique/ecologie-humaniste-tribune-julien-aubert-193817
« Oui, nous faisons l'expérience d'une évolution climatique historique. Oui, cette évolution constitue un vrai défi pour les conditions de vie de l'espèce humaine. » Devons-nous nous arrêter pour autant aux propos catastrophistes de Greta Thunberg ? L'espèce humaine a connu très régulièrement des annonceurs de la fin du monde, particulièrement pendant les périodes troublées. On les appelle « millénaristes » et leur pensée est souvent plus de l'ordre de la croyance que de celui de la raison. Sur la question du climat, nous ne pouvons pas nous laisser submerger par l’émotion, voire par la peur, mais exercer notre raison, surtout quand la propagation de cette peur est financée par des milliardaires et des lobbies dont les intérêts sont bien opaques. .../… Rappelons que des solutions existent, qui relativisent l'agitation et la panique : la start-up canadienne Carbon Engineering pourrait par exemple avoir la solution idéale pour capturer des émissions de gaz carbonique à grande échelle. Elle a en effet imaginer un bâtiment capable d'aspirer chaque année autant de CO2 dans l’atmosphère que 40 millions d'arbres. »
Mardi 23 juillet 2019, France – Réchauffement climatique – discours alarmiste de l’activiste Greta Thunberg invitée à l’Assemblée nationale, salle Victor Hugo – En deuxième position à droite de la photo, Valérie Masson-Delmotte, Scientifique officielle du dérèglement « climatique »
« Et parce que vous avez ignoré les faits, parce que vous et pratiquement tous les médias qui jusqu’à aujourd'hui continuent d'ignorer ces chiffres, les gens ne savent pas ce qui est en train de se passer. Si vous respectez la science, si vous comprenez la science alors tout est dit.
420 gigatonnes d'émissions de CO2 c'est ce qui nous restait au 1er janvier 2018 pour 67% de chance de rester au-dessous de 1,5 degré d’augmentation de la température au niveau mondial et nous savons que ce chiffre est désormais passé à 360 gigatonnes. Au niveau d'émissions actuelles ce budget d’émission aura totalement disparu d'ici 8 ans et demi et depuis que j'ai commencé à vous parler d'ailleurs le monde vient d’émettre près de 800 000 tonnes de CO2. Et s'il reste des personnes qui trouvent des excuses pour ne pas écouter pour ne pas agir je voudrais vous reposer la même question est-ce qu'il existerait un autre GIEC, est-ce qu'il existerait un accord de Paris secret que nous ne connaîtrions pas, un accord de Paris qui n'inclurait pas l'aspect de l'équité ? Auriez-vous un budget différent qui nous permet de rester au-dessous de l'augmentation de 1,5 degré ?
Et le tout dernier rapport du GIEC nous montre que nous pourrions viser des objectifs plus ambitieux ce qui nous permettrait de sauver des nombres très importants de vies humaines. »
Vérité dérangeante : Croire en une Science à 67% de chance de réussite c’est oser jouer à la roulette russe avec un barillet chargé de 2 balles pour 6 emplacements.
C’est le député LaREM de Paris, Hugues Renson, Vice-président de l’Assemblée nationale qui a prononcé le discours d’introduction à la prise de parole de la jeune Suédoise Greta Thunberg.
« Nous vivons un moment charnière, un moment charnière c'est à la fois un moment décisif et un moment de bascule. Un moment décisif parce que les dérèglements climatiques ne sont plus une hypothèse, ne sont plus menace, c'est désormais une réalité. Un moment bascule aussi parce que chacun prend conscience de la gravité de la situation. Il y a urgence : urgence à agir bien sûr, urgence à mettre en place un nouveau modèle durable, urgence aussi si nous voulons atteindre les objectifs ambitieux de l'accord de Paris. Chercher des fautes, pointer des responsabilités ou des défaillances ne suffit plus. Le temps est désormais à chercher collectivement des solutions, et des remèdes. Ici en France comme partout ailleurs l'écologie doit devenir une priorité absolue. Les grands discours, les pétitions de principe ne suffisent plus. Il convient d'amplifier les actions, il convient de se tourner vers une écologie du quotidien, une écologie de terrain, une écologie intégrée dans toutes les politiques publiques nationales comme locales et c'est aussi le sens de l'Urgence écologique et climatique que nous avons votée le mois dernier au Parlement dans le projet de loi Energie climat.
Mesdames et messieurs, mes chers amis, cette journée est placée sous le thème des regards croisés, sur l'urgence climatique. Cette journée est une occasion unique, une occasion qui va nous permettre de croiser des points de vue différents sur une seule et même question, sur une seule et même urgence. Le regard d'abord de la jeunesse, la jeunesse qui se mobilise, la jeunesse qui éveille les consciences. Le regard aussi des scientifiques qui sont présents parmi nous aujourd'hui, scientifiques d'autre part qui nous informent, qui nous alertent et qui et étayent nos craintes par des éléments objectifs absolument Incontestables. Et le regard enfin de députés élus, de représentants du peuple. C’est à eux, c'est à nous qu'il appartient désormais de changer les choses. »
Vrai engagement ou simple effet de manche ? : « Je conclurai dans cette salle Victor Hugo en citant devant vous Victor Hugo, Victor Hugo qui écrivait dans ses carnets « C'est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain ne l'écoute pas ». Et bien la Nature nous avons ENFIN décidé de l'écouter, tous ensemble. Je vous remercie. »
Valérie Masson-Delmotte, Co-présidente du GIEC, membre du Haut conseil pour le climat, à Aix-en-Provence le 1er avril 2019, à la recherche d’ambassadeurs et ambassadrices du dernier rapport du GIEC.
Diapo : Quel est le mandat du GIEC ?
Évaluer l'information scientifique, technique et socio-économique pertinente pour comprendre les bases scientifiques des risques du changement climatique dû à l'influence humaine, ses impacts potentiels, les options d'adaptation et d'atténuation.
Pertinent pour éclairer les choix politiques mais non prescriptif
Vérité sournoise : MANDAT NON PRESCRIPTIF donc aucune obligation pour les élus ou les gouvernements de suivre les avis du GIEC. D’où la tentation d’utiliser la fougue, le parler-franc, l’impertinence de la jeunesse pour titiller la bonne conscience des décideurs. Ce que à quoi s’emploie opiniâtrement et méthodiquement Valérie Masson-Delmotte. Et ce qui a fait dire à Brune Poirson, Secrétaire d’Etat auprès du ministre de à la Transition écologique et solidaire : « On a besoin de lanceurs d’alerte comme Greta Thunberg. ».
CRNS LE JOURNAL Donner du sens à la science – 24 juillet 2019 – article de Philippe Nessman : « Valérie Masson-Delmotte, une voix pour le climat » https://lejournal.cnrs.fr/articles/valerie-masson-delmotte-une-voix-pour-le-climat
« En décembre 2018, la célèbre revue scientifique Nature a classé Valérie Masson-Delmotte dans sa liste des dix personnalités qui ont le plus compté en 2018. Son mérite : avoir mené à bien la rédaction d'un rapport sur les conséquences d'un réchauffement climatique limité à 1,5°C, en agrégeant plus de 6000 publications sur le sujet en un an et demi. Et cela tout en étant, à 47 ans, directrice de recherche au Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA), en ayant de hautes responsabilités au sein du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) et en étant nommée membre du tout nouveau Haut Conseil pour le climat …
Comment fait Valérie Masson-Delmotte pour mener toutes ses activités de front? Son bureau au Laboratoire des sciences du climat et de l'environnement (LSCE) livre peu d'indices. Sur les murs, des cartes des régions polaires. Dans un coin, un vélo électrique rouge. Accrochée sous la fenêtre, une vieille photo de vacances d'elle avec ses deux fillettes. Sur la table de travail, un ordinateur portable, un téléphone et six épaisses liasses de publications scientifiques reliées et annotées. « Ma lecture pendant les fêtes de fin d'année! », s'amuser la climatologue. En fait, le début d'explication ne se trouve pas dans le bureau, mais dehors, de l'autre côté de la fenêtre, dans ce ciel bas où filent les nuages. « J'ai toujours aimé regarder les nuages. Enfant, je passais des heures à en observer les formes, jamais identiques ! » De son enfance à Nancy, elle garde le souvenir vivace de vacances en famille sous la tente, au contact de la nature. … »
Vérités de la nature (100 % vérifiables avec un peu de bonne volonté mais pas forcément faciles à entendre) :
- quotidiennement les nuages homogenitus homomutatus devenant voile d’altitude plus ou moins dense forment le toit de la serre qui nous enferme, surchauffe pour l’instant l’atmosphère, altère la luminosité, provoque des sécheresses durables en captant les évaporations locales dont évapotranspiration des plantes.
- quotidiennement les nuages homogenitus homomutatus évoluant en volutus plus ou moins bien formés provoquent dès que possible de dangereux vents tourbillonnant, précipitent en inoffensives virgas jusqu’au moment, où renforcés par l’arrivée des nuages d’une dépression, ils dévastent par orages stationnaires, tornades, flumen de pluie, neige ou grêle.
En clair l’urgence n’est pas « climatique » mais dans la nécessité de stopper un bouleversement des cycles de l’eau et une altération de la luminosité, devenus chroniques et s’intensifiant dangereusement.
ATTENTION : La luminosité naturelle peut être rétablie en quelques jours, voire quelques heures. Mais dès que les masses glacières auront suffisamment fondues, ce qui est dans un avenir très proche, personne ne pourra dire comment les cycles de l’eau se rétabliront, ni en combien de temps, quelques années ou quelques millénaires ?
NB : les nuages homogenitus génèrent aussi une très importante pollution aux particules fines
REMARQUE : Très prochainement les victimes comprendront leur intérêt à porter plainte contre X pour obtenir des réparations plus à la mesure de leurs dommages matériels et en pertes humaines.
Pour en savoir plus :
Et en fouillant dans le blog Planète Avionie www.eauseccours.com