Extraits de la page 2 du quotidien La Provence édition Aix-en-Provence du samedi 20 octobre 2018, article signé Romain Cantenot
Le vendredi 19 octobre 2018, Brune Poirson, Secrétaire d’état auprès du ministre d’état, ministre de la transition écologique et solidaire (Nicolas Hulot puis François De Rugy) reconnaissait ouvertement que les recommandations du GIEC en matière de hausse moyenne des températures étaient intenables mais que cela ne devait pas inciter à l’inaction qui conduirait dans quelques années aux douloureux reproches des enfants d'aujourd’hui alors devenus adultes : « Ma fille de trois ans ne pourra pas croire plus tard qu’on avait les cerveaux, l’argent et l’énergie et qu’on les a consacrés à la destruction de la planète. ».
Pourtant à y regarder de plus près, si les cerveaux humains s’entêtent à chercher des solutions contre un réchauffement climatique imputé au CO2 anthropique, la « destruction de la planète » sera plutôt conséquence d’un assombrissement global, déjà en cours, et d’un refroidissement climatique. Les deux solutions fallacieuses en vigueur pour tenter de remédier à la fièvre climatique peuvent laisser envisager cela :
1-La géo-ingénierie
Avignon, jeudi 18 octobre 2018, salon med’agri, conférence « Changement climatique : comment préparer l’avenir ? ». Le système climatique – Source externe de variabilité : le volcanisme – intervenante Mme Hélène Correa, Météo France, direction interrégionale sud-est, bureau d’études.
Lors de sa présentation sur l’avenir du climat, la semaine dernière au Salon professionnel de l’agriculture méditerranéenne (med’agri), Hélène Correa de Météo France a rappelé que les éruptions volcaniques les plus importantes ont provoqué des refroidissements conséquents pour la vie terrestre. Et d’ajouter à titre personnel qu’elle ne croyait pas que la géo-ingénierie, qui consiste à s’ingénier à élaborer des techniques imitant cette action refroidissante des éruptions volcaniques par diffusion en haute altitude d’un obstacle au rayonnement solaire, soit une bonne idée.
2- La géo-ânerie
Avignon, jeudi 18 octobre 2018, salon med’agri, conférence « Changement climatique : comment préparer l’avenir ? ». Le système climatique – Gaz à effet de serre (H2O, CO2, …) – intervenante Mme Hélène Correa, Météo France, direction interrégionale sud-est, bureau d’études. Corrections du schéma Jacques Fabry, avioclimatologue.
Hélène Correa, Jean Jouzel, Hervé Le Treut, Valérie Masson Delmotte et autres météorologues, climatologues et membres du GIEC le répètent inlassablement :
Le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau (H2O), donc occupons-nous du gaz carbonique (CO2).
En conséquence de ce déni de réalité, le développement mondial de solutions techniques (stockage de carbone, biocarburants, éoliennes, panneaux solaires, ...), engagées dans l’espoir d’être utiles pour le climat sur la foi en le consensus scientifique* avancé par le GIEC, entériné par les politiques et soutenu par les ONG, n’est que géo-ânerie. Le temps perdu à sa mise en place laisse s’épaissir au-dessus de nos têtes l’obstacle de glace, de gaz et de particules généré par l’accroissement inconsidéré du trafic aérien, ce qui après la phase d’échauffement planétaire conduira à un refroidissement climatique dans un assombrissement global extrêmement problématique pour la biodiversité.
La transition énergétique n’est véritablement utile et même indispensable que pour tenter de pallier le futur choc sociétal que provoquerait un épuisement brutal non anticipé des réserves en hydrocarbures fossiles.
Pour en savoir plus :
15/11/2012 : http://www.eauseccours.com/article-reperer-la-serre-qui-nous-fait-de-l-effet-112478921.html
06/02/2013 : http://www.eauseccours.com/article-du-nouveau-dans-l-immuable-cycle-de-l-eau-115112913.html
Remarques :
*L'expression « consensus scientifique » ne peut être qu’un oxymore.
La fonte des neiges et des glaces réputées éternelles s’accélère plus vite que les prévisions du GIEC car elle ne dépend pas que de la hausse de la température de l’air mais aussi de leur salissure et de leur humidification.
Pour comprendre la fonte des glaces en s’amusant :
Alors que faire pour retrouver un climat normal avec ses quatre saisons bien marquées sous notre latitude ?
Jeudi 18 octobre 2018, 13h12, salon med’agri Avignon, 3213ème jour de collecte quotidienne des nuages surnuméraires homogenitus, perturbateurs de l’ensoleillement, des vents et des cycles de l’eau. Météo du jour journal La Provence : « L’après-midi les éclaircies reviennent. Les températures sont douces, 3 à 4 degrés au-dessus des normales. »
En fait la variabilité de températures n’est qu’un épiphénomène de la réalité des bouleversements météo climatiques en cours qui sont avant tout conséquence d’une altération de la luminosité et d’une désorganisation des cycles de l’eau par la présence grandissante de nuages surnuméraires anthropiques bien visibles sur la photo ci-dessus mais absents du bulletin météo.
Avant de pouvoir espérer au plus vite débarrasser le ciel de ces nuages perturbateurs, ce qui est techniquement et politiquement possible, et ainsi retrouver une situation climatique normale, notamment les quatre saisons bien marquées de notre latitude, il serait opportun que Météo France et les autres services météo acceptent de se recycler puis d’utiliser dans leurs bulletins prévisionnels quotidiens la nomenclature des nuages qui a été médiatisée le 23 mars 2017 dans l’annonce officielle de la MAJ de l’Atlas mondial des nuages de l’OMM.
Nouvelle nomenclature étrangement listée ainsi :
VOLUTUS
ASPERITAS FLUCTUS CAVUM MURUS CAUDA
FLUMEN
FLAMMAGENITUS HOMOGENITUS HOMOMUTATUS CATARACTAGENITUS SILVAGENITUS
au lieu de :
HOMOGENITUS
HOMOMUTATUS CAVUM
HOMOMUTATUS VOLUTUS ASPERITAS FLUCTUS MURUS CAUDA d’une part
et FLAMMAGENITUS CATARACTAGENITUS SILVAGENITUS d’autre part
Dans notre monde humain intellectuel ce qui n’a pas de nom bien compris n’existe pas.
Ce qui n’empêche pas le réel de présenter sa facture.
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