1er avril 2009, le quotidien La Provence, dans sa version papier du jour, salue la nouvelle augmentation du trafic aérien low-cost de l’aéroport de Marseille Provence terminal mp2, comme il l’avait déjà fait hier sur le net.
« Aéroport : hausse de 33% du trafic passagers de l'aérogare "bas tarif" » http://www.laprovence.com/articles/2009/03/31/773527-Region-en-direct-Aeroport-Marseille-Provence-hausse-de-33-du-trafic-passagers-de-l-aerogare-bas-tarif.php
7 lignes de plus que l’été passé pour un total de 31 destinations sur 13 pays différents
1 500 000 passagers espérés en 2009
De quoi rêver trouver le soleil toujours plus loin !!!
un commentaire vient d'être posté par Peach78 sur l'article Soleil ? Bon sang, il faut se rendre à l’évidence!, sur votre blog eauseccours
Extrait du commentaire:
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« Le boom des vols low cost au départ de Marseille »
Commentaire de Yoann sur cet article :
« Le "BOUM" ça veut dire qu'ils se sont écrasés ? »
Mon commentaire sous le pseudo Cielnature :
01/04/2009 à 07h24
Le "BOUM" Yohann ça veut dire que tous les marseillais et les provençaux vont prendre sur la tête tout ce que les avions directement ou indirectement vont lâcher du ciel : suie, hydrocarbures, bruit, mais aussi foudre, grêle et crépuscule permanent...
La météo du jour a annoncé une possibilité de pluie. Mais à cette pluie naturelle s’ajoutent les nuages de culture provoqués par l'excès du trafic aérien.
DROIT DANS LE MUR
1er avril 2009 16h09, D17, près de la maison de la Sainte-Victoire à Saint-Antonin-sur-Bayon
Un cordon avionneux (aviocorde) structure souple et raide à la fois, mélange de suie, hydrocarbure et eau, traverse la vallée, résiste au vent et s’affale sur la Sainte-Victoire, l’enveloppant d’un brouillard qui, par sa présence encore inhabituelle en cet endroit, peut surprendre de nombreux promeneurs.
1er avril 2009 18h01 Aix-en-Provence, fin des trombes d’eau versées par l’aviocorde de la photo précédente
Cette aviocorde, au milieu de quelques discrets coups de tonnerre, a déversé des trombes d’eau sur Aix-en-Provence aux alentours de 17h. Les badauds surpris par la violence des ondées couraient en tout sens. Encore une journée de peu de butinage pour les abeilles et de peu de recette pour les terrasses des cafés.
A partir de quel degré de destruction des économies locales les décideurs officiels accepteront-ils de comprendre qu’il est plus économique d’indemniser l’industrie aéronautique plutôt que de sacrifier toutes les autres ? J’aurais souhaité que ce sujet soit traité au G20 de l’économie qui se tient à Londres demain avec pour volonté affichée tenter de prendre des mesures pour pallier à la crise économique actuelle.
Quoiqu’ils décident, sans le retour à un ensoleillement naturel et un degré d’humidité normal, leurs décisions seront vouées à l’échec et la crise s’étendra jusqu’à pouvoir provoquer des guerres civiles. |