Différents aspects de l’eau émise en altitude par le trafic aérien : voile d’aviocirrus, sillage direct, traînée élargie, aviocorde en formation, irisations hydrocarbonées
Lundi 31 mai 2010, JT de 20h sur TF1
Environnement
Laurence Ferrari annonce le résultat d’avril 2010 pour ECO2 climat « cet indicateur que TF1 vous propose en exclusivité, il mesure mois après mois la quantité de gaz à effet de serre que nous rejetons tous en France » et son créateur Jean-Marc Jancovici en analyse les détails pour le seul CO2.
Quantité mensuelle de gaz à effet de serre
Pourquoi la mesure de la quantité de gaz à effet de serre, annoncée par Laurence Ferrari, a-t-elle ensuite été réduite à la seule entente tacite sur le bilan carbone dans les chiffres donnés ?
Dans la séquence suivante du même JT
http://videos.tf1.fr/jt-20h/bilan-carbone-quels-sont-effets-du-volcan-islandais-5866648.html
Corinne Lalo, journaliste de TF1, spécialiste de l’environnement depuis une trentaine d’années en donne cette surprenante explication : « Le carburant des avions n’est pas la SEULE source de gaz à effet de serre, les traînées de vapeur d’eau qu’ils laissent derrière eux constituent elles aussi un gaz à effet de serre mais leur impact n’est pas pris en compte car difficile à mesurer.»
L’impact de la vapeur d’eau émise par les avions n’est pas pris en compte car difficile à mesurer.
Ah la belle excuse : C’est difficile, donc je n’en tiens pas compte.
Combien d’examens ratés, combien d’accidents peuvent-ils découler d’une telle attitude ?
Combien de marées noires ? Combien de fausses économies ? Combien de vies gâchées ?
Combien de procès perdus ?
REMARQUES
La quantité de vapeur d’eau rejetée par les avions est aussi facile à calculer que la quantité de CO2 puisque issue de la même réaction chimique (exemple pour les moteurs à essence http://www.econologie.com/equation-de-combustion-articles-638.html). Il suffit donc de connaître la quantité de kérosène brûlé et la bonne formule chimique pour calculer la quantité d’eau rejetée par le trafic aérien.
« …le secteur aérien ne représente que 3% de ces émissions, mais comme le C02 est rejeté directement dans la haute atmosphère son impact sur l’effet de serre est deux fois plus important que le CO2 rejeté au niveau du sol. » Corinne Lalo, JT 20h, TF1, 31 mai 2010
Les effets de l’eau rejetée en haute altitude par les avions de ligne, passagers ou fret, sont sans commune mesure avec l’impact environnemental de l’eau rejetée par les moteurs au niveau du sol.
Les avions rejettent aussi au-dessus de nos têtes des hydrocarbures imbrûlés, de la graisse, des suies, des nanoparticules variées qui, comme l’eau ou le CO2, finissent toujours, ici ou là, tôt ou tard, par nous retomber dessus.
PRINCIPAUX IMPACTS SUR L’ENVIRONNEMENT DE LA VAPEUR D’EAU EMISE PAR LES AVIONS
En haute altitude l’eau émise par les avions gèle et finit par provoquer un voile d’aviocirrus qui tout à la fois réfléchit, capte et altère la lumière solaire.
En moyenne altitude apparaissent d’immenses cordons nuageux, les aviocordes.
En basse altitude le taux d’humidité relative est supérieur à celui correspondant au climat local habituel.
Sur terre on ne touche pas impunément à l’eau et à la lumière
Assombrissement global, disparition des abeilles et autres insectes, accélération de la fonte des glaces, augmentation des précipitations et de leur violence, éboulements, vents apparemment anarchiques, incendies gigantesques, bouleversement des cycles de l’eau, augmentation des accidents de la route et des dangers en montagne, essoufflement, souffrance des plantes, maladies liées à l'humidité, augmentation du chômage dans tous les métiers liés à un bon ensoleillement, pollution de l'eau terrestre…
Plus de détails et autres exemples des conséquences de la vapeur d’eau émise en altitude par les avions dans le tout le site Planète Avionie http://www.eauseccours.com
Quelles sont les bonnes mesures pour éviter les nuisances de l’eau émise par le trafic aérien ?
Etrange lumière (lundi 31 mai 14h04, lac du Bourget en Savoie) sous ciel avionneux, le tout qualifié de « beau temps » par Yan Giezendanner, prévisionniste, expert météo haute montage
1-En tout premier lieu que les météorologues officiels prennent en compte dans leurs prévisions le voile d’aviocirrus et les aviocordes visibles sur les cartes radars ou les photos satellites et en parlent clairement.
2-Réduire le trafic aérien jusqu’à disparation des aviocordes d’abord puis des aviocirrus.
Si l’impact de la vapeur d’eau émise par les avions continue à n’être pas pris en compte, le calcul des milliards d’euros de dégât consécutifs à cette ignorance volontaire du problème ne cessera d’augmenter et de se compliquer, et peut conduire à des réactions violentes car touchant beaucoup d’innocents. |
L’impact de la vapeur d’eau émise par les avions n’est pas pris en compte… et pourtant, toute l’organisation de la vie terrestre en est déjà affectée. La vie terrestre n’est pas adaptée à l’atmosphère de la Planète Avionie. |