Le 19 novembre 2007 la chaîne LCI a publié l’information sur son site internet,
tf1.lci.fr/infos/monde/europe/0,,3626602,00-russie-ils-attendent-apocalypse-dans-grotte-.html
je ne l’ai apprise qu’hier au soir, samedi 27 janvier 2008, durant le 20h de TF1 présenté par Claire Chazal,
videos.tf1.fr/video/news/insolite/0,,3696151,00-ils-attendent-fin-monde-refugies-sous-terre-.html
L’apocalypse serait prévue pour le mois de mai prochain.
La fin du monde pour le jour de mon anniversaire, je n’arrive pas à y croire !!!
Mourir à 56 ans, sauf accident, c’est trop jeune pour une vie saine au 21ème siècle…
En tous cas un danger bien réel nous menace ; nous sommes tous concernés. Si chacun en prend conscience, le fait savoir et agit à sa mesure dans son coin, le danger peut encore être écarté à moindre frais et sans être obligé de se cacher sous terre.
Depuis le 2 août 2007, cela va faire 6 mois le 2 février 2008, j’alerte régulièrement le gouvernement qu’un seuil de saturation vient d’être franchi dans la nature.
L’atmosphère ne peut plus dissoudre la vapeur d’eau générée par l’augmentation démesurée du trafic aérien. Levez la tête et rendez-vous compte. De jour comme de nuit, le ciel est en permanence voilé d’un réseau nuageux à peine visible, ou encombré de pipelines de nuages que même un vent célèbre comme le mistral ne peut disperser. La circulation aérienne de l’eau et celle de la lumière en sont considérablement perturbées.
Fonte accélérée de la banquise, incendies gigantesques en Californie, disparation des abeilles et bien d’autres calamités empirent très rapidement car le feu du soleil se glisse sous le réseau aérien aqueux généré par le passage des avions.
En station de ski, cet hiver, la vitesse de la fonte de la neige, pourtant tombée en abondance en décembre, surprend. Les haies de thuyas roussissent, les épicéas et les pins suivent. Les gens prennent plus rapidement des coups de soleil.
La lumière arrive de tous les côtés à la fois bouleversant les microclimats qui régissent la vie sur les versants d’une taupinière ou du Mont-Blanc. La diminution du volume des glaciers et l’organisation des nuages en fonction des couloirs aériens affectent les cycles normaux de l’eau et donc à terme la répartition habituelle de l’eau sur le globe.
Dans l’urgence, avant que les dégâts soient irréversibles et pour se donner le temps de mieux comprendre, il faudrait trouver le courage d’en revenir immédiatement au trafic aérien de 1990 (date qui figurait dans un titre de forum lors des débats du grenelle de l’environnement : « Ramener les émissions des transports à leur niveau de 1990 d’ici 2020 »).
L’eau, source de vie, peut également être source de nombreuses catastrophes.