Samedi 19 mars 2011
Promenade bucolique autour de St-Antoine l’Abbaye, village médiéval niché au cœur des collines iséroises voisines de la Drôme, labellisé par « les plus beaux villages de France » depuis le 10 avril 2010
17h02 dans le ciel bleu azur, façon crayon de couleur des dessins enfantins, un très gros avion passe en toute discrétion à cette heure de la journée (la nuit, le bruit de fond produit est très perceptible)
17h05, réflexions entre pèlerins « C’est bizarre, le ciel est bleu et on dirait qu’il pleut ! » « Ne t’inquiète pas, tout ce qui tombe du ciel est béni !»
17h08 quelques gouttes encore dans un air épais et irisé
17h35, avion après avion l’aviocorde s’est formée
18h14 croisement d’aviocordes en pleine nature, indépendamment du sens du vent
18h26 le jour décline, moment idéal pour se rendre compte de l’importance du trafic aérien entraînant, très en dessous du passage des avions, la formation de longs nuages de culture qui soulignent les couloirs aériens : les aviocordes. 18h28 Trois avions visibles simultanément sur la même route aérienne.
18h35 Les petits ruisseaux des collines grossissent le fleuve Rhône en aval ; le passage incessant des avions en haute altitude alimente les aviocordes en aval.
Peut-être une méditation à proposer aux membres de la Communauté de l’Arche abritée dans l’abbaye de St-Antoine ? Plutôt une méditation pour tous.
Pour se débarrasser des aviocordes il suffit de diminuer le trafic aérien http://www.eauseccours.com/article-la-bourse-ou-la-vie-avertissement-avec-frais-numero-2-le-volcan-49043951.html
« C’est bizarre, le ciel est bleu et on dirait qu’il pleut ! » « Ne t’inquiète pas, tout ce qui tombe du ciel est béni !» Tout ce que la nature ou l’homme envoient très haut dans le ciel finit par retomber, cendres du volcan l’année dernière, particules radioactives aujourd’hui même, tous les résidus du trafic aérien chaque jour un peu plus. Les scientifiques et les politiques tentent de mesurer les quantités et l’importance des choses et des phénomènes avec des unités et des instruments, des axiomes et des idées. La nature se contente de réagir, essaie de s’adapter au présent, privilégiant pour cela l’espèce à l’individu. Il suffit de regarder ce qu’elle montre pour comprendre. Quel que soit le moyen de la prise de conscience il convient d’accepter les limites vitales et y adapter ses comportements ou mourir. Autrement dit il convient de retrouver la conscience qu’une limite vitale ne se recule pas, on n’y touche pas, on ne s’en approche pas trop, on peut la considérer comme sacrée si cela aide à l’accepter et à mieux profiter de son cadre de jeux possibles. Les rejets du trafic aérien se répartissent autour de la terre entière modifiant la réception de la lumière solaire et l’organisation des cycles de l’eau. Les rejets du trafic aérien retombent sur la terre entière empoisonnant les airs, les terres et les eaux. Planète Avionie, la vie n’y est pas adaptable ou très peu. Actuellement la vie terrestre dépérit. On n'y échappera pas, le trafic aérien doit diminuer. http://www.eauseccours.com |
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