2 mai 2011, Barack Obama, président des Etats Unis d’Amérique annonce que ses forces ont retrouvé Oussama Ben Laden, chef d’Al-Qaïda, qu’il a été tué et que son corps, après observation des rites dictés par l’Islam, a été immergé en haute-mer pour éviter qu’une tombe terrestre ne devienne un lieu de pèlerinage susceptible de ranimer des haines.
6 mai 2011, Al-Qaïda reconnait la mort de son chef et promet vengeance
Le monde préfère retrouver le sourire et rêver de voyages lointains, l’été approche
Etre ébloui, « N’y voir que du bleu », c’est le plus important pour oublier
Sauf que le ciel vraiment bleu n’existe plus et que la vie terrestre dépérit
« A quelque chose malheur est bon » dit le proverbe. L’immobilisation au sol des avions après l’attentat du 11 septembre 2001 avait permis aux Américains de retrouver durant quelques jours un véritable ciel bleu que 10 ans après l’Europe a perdu. http://www.eauseccours.com/article-la-bourse-ou-la-vie-avertissement-avec-frais-numero-2-le-volcan-49043951.html
Puisse la mort de Ben Laden permettre de se souvenir de cette pause dans la démence du trafic aérien et favoriser ainsi la prise de conscience de la nécessité de retrouver ce ciel bleu et son franc soleil, moteur des cycles de l’eau, sources de toute vie sur terre.
Puisse cette petite pause aider à comprendre que l’excès de trafic aérien est la toute première cause des dérèglements climatiques que nous subissons.
Remarques :
· Toutes les photos qui illustrent cet article, même la première, ont été prises aujourd’hui, 7 mai 2011, depuis le sable de la plage des Merveilles au bord de l’Etang de Berre.
· Tous les nuages visibles ou voiles perceptibles sur ces photos sont nuages de culture engendrés par le trafic aérien.
· Attentat du 11 septembre 2001 : 3000 morts, effondrement des tours jumelles du World Trade Center et un nombre chiffrable de dégâts collatéraux. Grêle, sécheresses, accidents routiers par éblouissement, avalanches, disparition des abeilles, fonte des glaces, avalanches, atteintes à la santé physique et psychique, manque à gagner, chômage, … les dégâts engendrés par l’excès de trafic aérien dépassent l’imagination, ils sont pourtant bien réels et les plaintes pour que justice soit faite vont se multiplier au fur et à mesure de la prise de conscience de leur existence.