Le biomimétisme, ingénierie à la mode, cherche à imiter volontairement les solutions de la nature pour les appliquer à l’amélioration de la vie humaine sous tous ces aspects.
Sauf que le biomimétisme peut être passif et négatif, autrement dit l’ingénierie peut imiter la nature sans le savoir, et provoquer ainsi de désastreuses conséquences. C’est encore plus dramatique si l’homme a conscience de ce qu’il fait et le tait par lâcheté et/ou cupidité.
Affiche volcan du film « La vie rêvée de Walter Mitty » sorti au cinéma le 1er janvier 2014 « Le moins que l'on puisse dire, c'est que le volcan Eyjafjöll est très à la mode au cinéma en ce moment, puisqu'il apparaît également dans La Vie rêvée de Walter Mitty, le nouveau film de Ben Stiller ! Dans ce dernier, l'acteur campe un doux rêveur qui se lance dans un périple aussi incroyable qu'exotique, l'amenant à croiser la route du fameux Eyjafjöll... » http://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18629735.html
Un film où rêve et réalité se côtoient, se mêlent, s’opposent. Réaliste dessin d’une éruption volcanique, alors que le ciel en arrière-plan est décalé, bien loin de la représentation d’un panache volcanique. Ce type de ciel est l’évocation d’une autre réalité, devenue le quotidien d’un nombre grandissant de terriens. Il est le résultat de l’eau, des gaz et des particules inconsidérément rejetés en haute altitude par les pots d’échappement des avions d’un trafic aérien démesuré.
Des émissions volcaniques gigantesques ont pu par le passé provoquer assombrissement global, bouleversement planétaire des cycles de l’eau et du climat, extinctions massives des espèces.
Actuellement, sournoisement mais tout aussi efficacement, les rejets du trafic aérien mondial ont les mêmes conséquences, plus un désastre économique grandissant touchant toutes les activités liées à un ensoleillement optimal, dont l’apiculture, et incluant les réparations de beaucoup des dégâts causés par des eaux déchaînées.
Les jours de ciel tout bleu ou presque, si nécessaires en nombre suffisant à la bonne marche de la vie terrestre, ne reviendront que lorsque les libres rejets des moteurs d’avion en eau, gaz et particules auront considérablement diminué :
- par arrêt du trafic aérien comme lors de l’éruption du volcan islandais Eyjafjöll en avril 2010, exemples en images :
- ou par la rapide mise ou point d’un système technique permettant dans un premier temps de récupérer en vol à haute altitude assez de l’eau chimique produite par la combustion du kérosène, de la stocker dans les réservoirs d’avion équipés d’une cloison mobile et de la larguer sur une forêt, des cultures, un désert ou la mer avant atterrissage.
A noter que les recherches de géoingénierie en cours visant à rejeter de l’eau ou des particules entre le soleil et la terre ne feraient qu’empirer la situation générée par les rejets du trafic aérien et donc aggraveraient le problème des dérèglements climatiques au lieu de le solutionner. Ces recherches sont citées par le GIEC en page 29 du 1er volume de son 5ème rapport (27 septembre 2013).
« Methods that aim to deliberately alter the climate system to counter climate change, termed geoengineering, have been proposed. …/… Modelling indicates that SRM (Solar Radiation Management) methods, if realizable, have the potential to substantially offset a global temperature rise, but they would also modify the global water cycle, and would not reduce ocean acidification. » http://www.climatechange2013.org/images/report/WG1AR5_SPM_FINAL.pdf
Jean Jouzel, vice-président du GIEC est de ceux qui savent et taisent les conséquences du libre rejet dans le froid de la haute altitude de l’eau produite par la combustion du kérosène.
Que voyez-vous sur ces photos ? Un air pollué par une pluie de kérosène et quelques gouttes d’eau (plus blanches et opaques), ou des manifestations paranormales abondamment décrites sur le net ?
La vie rêvée ne tiendra plus longtemps face à la réalité.
Exemple de pluie d’eau chimique, hors cycle naturel de l’eau :